Il est question d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur: l'agriculture dans les Bouches du Rhône. Cela relance ma motivation à vous persuader que notre avenir à tous et notre intérêt présent et futur est de rejoindre une AMAP (cf mon article du 19/11/2009)
Voici quelques extraits du magzine, mais vous pouvez le consulter en ligne ici
" l’agriculture occupe une place de taille, totalisant un tiers de la superficie du département. Riz, fruits et légumes, élevages, céréales… toutes les filières cohabitent. Mais aujourd’hui, cette belle carte postale du terroir provençal s’effrite : de nombreuses exploitations sont menacées de cessation de paiement à brève échéance. “Pour la seule culture de la tomate, sur la plaine de Berre, en 5ans, 50% des exploitations ont fermé” explique Michel Saffin, vice-président de l’Association des organisations de production nationales de la Tomate"(...)
" Les facteurs de la crise sont multiples:
- coûts de production trop élevés par rapport à ceux pratiqués dans certains pays européens
- en passant par les pressions sur les prix exercées par la grande distribution
- ou encore la disparition progressive des outils de régulation et d’encadrement des marchés…
- Sans oublier que dans les Bouches-du-Rhône, département fortement soumis à la pression foncière, les agriculteurs sont handicapés par le prix des terrains, lourd facteur d’endettement des exploitations. Dans ces conditions, comment assurer le revenu des agriculteurs ?"(...)
- marché de producteurs locaux,
- vente à la ferme,
- paniers paysans (Amap),
- épicerie solidaire.
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